J'ai essayé la forge avec des chutes de chênes (par manque de charbon... comme quoi !); la chauffe est plus douce, plus controlable. Ce travail est saisissant, l'acier se plie selon ce que l'on souhaite et lorsque le métal est plongé dans le bain d'eau et d'huile, le frémissement de la matière que l'on ressent et que l'on entend est comme un chant qui serait souffrance pour une naissance d'autre chose.
Merci à ceux qui viennent ici par plaisir ou curiosité. Pour vos messages et votre présence lointaine-prochaine.
Merci à Sly, Wedell, Yapadélis, Captain jo, Pilote de Bord, Mirmilly, Jibi, l'ancien de l'Ile aux Moines (et j'en oublie, pardonnez moi) de Bateaubois.com. Merci à Seb, le seul ingenieur rêveur que je connaisse. Lorsque je passe le long de la coque en partant le matin et en rentrant le soir, j'ai une pensée pour ceux qui n'ont pas hésité à tendre la main. C'est le monde que j'aime.
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